Les gros bolides cylindrés qu’on nourrit à coût de billets bruns de 100 dollars n’ont plus la cote. Bien sûr, on en voit encore plusieurs se balader dans les rues de Toronto, mais avec la hausse des prix de l’énergie, les citoyens commencent à trouver que le bon litre d’essence ordinaire leur coûte un peu cher. Vous en êtes peut-être?
Mais que faites-vous pour baisser vos dépenses en énergie, pour réduire votre consommation d’essence? Vous marchez? Vous faites du vélo? Vous prenez le métro, le tramway, l’autobus? Vous faites du covoiturage? Vous avez changé de véhicule? Vous essayez de travailler de la maison, si c’est possible? Bref, quelle est votre solution?
Il est nécessaire de trouver des moyens de faire face à la montée des coûts de l’énergie parce que ces prix continueront d’augmenter au cours des prochaines années. Ils sont nombreux les économistes à prévoir un baril de pétrole à plus de 200 dollars américains et un prix du litre d’essence ordinaire à 1,50$ puis à 2,00 $.
Il faut donc s’y faire, s’y habituer, l’accepter et faire en sorte de ne pas être victime du marché du pétrole, en proie à une forte spéculation. Oui, on spécule fort sur le pétrole. Mais, il ne faut pas nier non plus une réalité sur laquelle bien des experts s’entendent: la ressource s’épuise et l’accessibilité au pétrole devient de plus en plus complexe et coûteuse.
Or, le pétrole est la première source d’énergie mondiale. Ce sont donc des changements majeurs qui doivent survenir dans les sociétés occidentales et dans nos vies pour faire face à une possible pénurie de pétrole et à une hausse importante des prix de l’énergie. Soyons pro-actifs…