En choisissant Cancún, à l’extrémité est de la péninsule mexicaine du Yucatán, pour y établir l’un de ses fameux villages de vacances, le Club Med a inauguré il y a 30 ans le développement touristique spectaculaire qu’est devenue la Riviera Maya, qui descend tout le long de la côte de la mer des Antilles jusqu’au Belize, en passant par Playa del Carmen et Cozumel.
Cette région était le foyer de la civilisation maya, qui a connu son apogée au cours du premier millénaire de notre ère, soit avant l’arrivée des conquistadores espagnols. Les descendants des Mayas qui ont conservé leur langue sont encore nombreux (mais souvent indigents, comme nos Autochtones) au Mexique et en Amérique centrale, où l’activité touristique, dominée par les plages et le soleil, est aussi orientée vers la découverte des impressionnantes ruines de cités, d’arènes et de temples mayas.
Faisant face à la deuxième plus grande barrière de corail au monde, en même temps que lové dans une lagune qui le protège des plus grosses vagues, le Club Med reste le joyau de Cancún, ville dynamique d’hôtels et de bistros desservie par un aéroport international (à 5 heures de vol de Toronto, notamment sur Air Transat).
Comme le veut la formule des Clubs Med à travers le monde (www.clubmed.ca) le «village» est autonome et choisit même de vivre à l’heure avancée par rapport au reste du Mexique, afin de profiter du soleil de 7h à 19h. J’y ai passé une semaine des plus relaxantes avec mon fils de 14 ans en février.
Nous avons fait de la plage et de la piscine, du kayak et de l’apnée dans les coraux, de la voile et du ski nautique… la première journée!