Principale depuis plus de cinq ans du Collège Woodsworth de l’Université de Toronto, Mariel O’Neill-Karch a tiré sa révérence à la fin juin, presque à la veille de ses 65 ans. Elle avait été la première Franco-Ontarienne à occuper un poste aussi élevé dans cette prestigieuse université.
Femme qui sait allier simplicité et complicité, effervescence et compétence, leadership et entrepreneurship, Mariel O.Neill-Karch a laissé sa marque sur le campus de l’Université de Toronto.
En plus d’y avoir enseigné le français et la littérature depuis 1966, elle a joué un rôle de premier plan dans le développement et le rayonnement du Collège Woodsworth, dont 40% des étudiants suivent des cours à temps partiel.
Au cours de son mandat, Mme O’Neill-Karch a réussi à accroître de 33% le fonds de dotation du Collège Woodsworth.
De plus, elle a créé 22 nouvelles bourses d’études et bonifié cinq bourses existantes. Chaque année le Collège octroie plus d’un million et demi en bourses.