Nouvelle surintendante au Conseil scolaire catholique

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Publié 10/07/2007 par Yann Buxeda

La semaine dernière, le Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud (CSDCCS) a annoncé plusieurs changements d’ordre hiérarchiques. L’institution franco-ontarienne se dote d’une nouvelle surintendante mais devra en revanche remplacer l’une de ses conseillères scolaires.

En premier lieu, Maryse Francella a été nommée au poste de surintendante adjointe. Un mandat de deux années qui débutera officiellement le 13 août.

Selon Bernard Lavallée, directeur de l’éducation du Conseil, le choix de Mme Francella s’est imposé naturellement: «L’expérience diversifiée de Mme Francella est un atout pour notre organisation et sa nomination en tant que surintendante adjointe nous permettra de poursuivre la mise en oeuvre de nos objectifs d’excellence au Conseil.»

Concrètement, le champ d’action de Maryse Francella concernera la gestion des familles d’écoles élémentaires St-Charles-Garnier (dans l’Est) et Nouvelle-Alliance (Nord). Elle occupera par ailleurs des postes au sein du conseil d’administration ainsi qu’au comité d’orientation, et elle aura pour tâche administrative de planifier l’analyse organisationnelle du Conseil et d’élaborer le plan opérationnel.

Auparavant, Mme Francella a occupé divers postes dans l’enseignement au cours des 25 dernières années, notamment à la direction de l’école secondaire Mgr-de-Charbonnel pendant quatre ans. Elle a aussi occupé un poste équivalent pendant une année pour l’école élémentaire catholique Sainte-Marguerite-Bourgeoys.

Une arrivée pour un départ

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L’arrivée de Mme Francella coincide avec un départ au sein de l’équipe du Conseil. Marie Gaudet, conseillère scolaire pour la région de Halton, a présenté sa démission ces derniers jours. Elle sera effective le 31 août prochain.

Un départ qu’a tenu à souligner Dorothée Petit-Pas, présidente du CSDCCS: «Je tiens à remercier Marie Gaudet de sa contribution à la table du Conseil comme conseillère scolaire ayant à coeur l’éducation des élèves. Je me joints à mes collègues pour lui souhaiter le meilleur des succès dans ses études à la faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa.»

Tel que le prescrit la Loi sur les élections municipales et la Loi sur l’éducation, le Conseil devra avoir trouvé un successeur dans les 60 jours suivant la date d’entrée en vigueur de la démission.

D’ici fin octobre, le Conseil aura donc pour mission d’étudier les candidatures afin de déterminer celui ou celle qui prendra les rênes du secteur jusqu’à novembre 2010.

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