Je reviens de passer quelques semaines en France, des vacances qui ont coïncidé avec l’affaire DSK.
J’ai suivi avec intérêt ce qu’en ont dit les médias. C’est à l’éditorialiste Patrick Besson du magazine Le Point que je décerne la palme du commentaire le plus édifiant: «On ne va tout de même pas te passer à la chaise électrique parce que tu as eu une érection sous la douche et qu’une femme de chambre a troublé ton intimité. Pour ma part, je suis contre le viol: c’est déjà pénible de faire l’amour avec une femme quand elle est d’accord.»
Curieusement (ou non…), inspirées par l’affaire DSK, deux femmes ont porté des accusations d’agression sexuelle contre un ministre français, Georges Tron.