20 ans après la déclaration par l’ONU de la Convention relative aux droits des enfants, quelques constatations me viennent en tête.
Premièrement, l’ONU est un outil de rapprochement entre les peuples qui n’a plus beaucoup d’influence, puisque la situation ne cesse de se détériorer.
Deuxièmement, curieux qu’au Canada où l’on trouve des dizaines de millions de dollars afin d’étendre de l’asphalte, on ne puisse trouver quelques millions annuellement afin de s’assurer que chaque enfant puisse déjeuner avant d’aller en classe.