L’année dernière, on se souvient que la venue de Sir Paul McCartney sur les plaines d’Abraham à Québec, avait soulevé un certain mouvement de contestations de la part de quelques défenseurs de notre langue française.
Parmi eux, se trouvaient des nationalistes purs et durs. On se souviendra surtout, que ce petit soulèvement d’insatisfaction fut vite décrié sur la place publique par plusieurs fédéralistes, entre-autres. Tellement, qu’il n’y a pas eu place, véritablement, à un débat raisonnable et digne de ce nom.
Mais donc, peut-on affirmer, aujourd’hui, que certains se soient énervés pour rien? En fait ce n’est pas nouveau, le débat sur la place du français au Québec en énerve plus d’un. Lorsqu’il survient, il devient, à tout coup, politique.