Ahmed, Fatima, Carlos, Fatou, Aziza, Purveen, Khalid, Abdoulaye, Myriam et Nighat, décédés après avoir lutté vaillamment contre la tuberculose, la malaria, le VIH-SIDA et les méfaits de l’extrême pauvreté.
Leur décès passera inaperçu comme celui des 28 000 enfants du tiers-monde de moins de cinq ans qui chaque jour (10 millions/année) meurent de causes évitables ou traitables.
Au lieu de fleurs, messes et autres gestes symboliques, une contribution annuelle de 300 millions $ par le Canada pour renflouer le Fonds mondial de lutte contre le paludisme, le sida et la tuberculose serait vivement appréciée.