L’idée selon laquelle les auteurs des récents attentats de Paris auraient communiqué entre eux par des systèmes hyper-sécurisés ne passe pas la rampe.
L’histoire de soi-disant messages par l’intermédiaire d’un jeu vidéo relève de la légende urbaine. Ces criminels ont banalement communiqué entre eux par Facebook ou par textos.
La raison pour laquelle l’histoire des jeux vidéo était fausse, c’est que PlayStation4, la présumée coupable, n’utilise pas d’encodage pour ses messages.
Mais cette histoire s’inscrit surtout dans un contexte plus large, où des responsables de la sécurité aux États-Unis ont tenté d’utiliser les attentats de Paris pour justifier un renforcement de leurs capacités de surveillance.