Avec le groupe Moskitto Bar, qui lance son premier album le 6 avril au Lee’s Palace, Tangi Ropars fait voyager. Cet accordéoniste français, installé depuis dix ans à Toronto, s’est fait un nom en jouant dans la rue.
Inspiré par les airs de festnoz de sa Bretagne natale, il tombe amoureux des gammes mineures et des mélodies tziganes. C’est ainsi qu’il se tourne vers la musique des Balkans.
« Moi j’y crois au mélange des cultures. »
Sept est le premier de Tangi réalisé avec Moskitto Bar. Un savant mélange de cultures le compose: le breton, qui a touché son premier accordéon vers l’âge de huit ans, partage ses gammes avec un Ukrainien, un Algérien et un Irakien.
C’est donc tout naturellement que le groupe a pu mixer les genres et les inspirations, à l’image de Toronto multiculturelle, cosmopolite.