Jeudi dernier, la troupe d’improvisation francophone de Toronto, Les Improbables, remontait sur les planches du bar Supermarket pour un «One Night Stand» enflammé.
Le temps d’une soirée, les matchs ont laissé place au hasard. Il n’y avait ni équipe, ni vote, ni arbitre. Seulement des saynètes improvisées dans une catégorie, par un ou plusieurs joueurs, choisis au hasard.
Le tout était orchestré par un maître du jeu, un peu sur le concept de «l’impro qu’on apprend à Second City», explique Barbara-Audrey Bergeron, l’une des co-fondatrices de la troupe.
Pourquoi avoir voulu tenter une nouvelle formule? «On est hors-saison et on n’a pas encore sélectionné les équipes». Cet événement, c’était l’occasion d’annoncer la nouvelle saison et «ce format était plus adapté à la situation. Ça permettait aussi de faire participer des gens qui ne sont pas là d’habitude.»
Sonia d’Amico, autre co-fondatrice des Improbables, ajoute: «lors d’un One Night Stand, tu rencontres quelqu’un. Soit la magie opère ou pas!»