Des images de soudeurs au travail, assemblant des pièces de métal entre elles, tout le monde en a déjà vues: à l’école dans un atelier de technologie, lors de la visite d’une usine, dans une publicité pour les voitures… Mais qui se pose la question de la technologie derrière ce travail?
Comment lie-t-on entre elles les pièces d’une voiture, d’un vélo, d’un réfrigérateur ou d’un ventilateur? Le soudage est partout autour de nous, et, comme pour toutes les technologies, les techniques de soudage vont de la plus élémentaire à la plus sophistiquée.
Pour la société Fronius, dont on trouve une filiale à Mississauga avec un directeur français, l’aventure commence en 1945 avec Günter Fronius, dans la ville autrichienne de Pettenbach.
Günter Fronius fonde, au départ, une société de chargeurs de batteries. Sources de courant électrochimique, les batteries permettent de générer de l’énergie électrique indépendamment d’un réseau.
Branche canadienne
À l’origine constituées de plomb, elles ont subi de profonds développements au 20e siècle, que la société Fronius a intégré à ses produits. Ces techniques de charge, et ces différentes manières de transformer l’énergie électrique, Günter Fronius a rapidement voulu les appliquer à un autre domaine: le soudage.