La Tour CN, les îles, les plages, les stades… C’est peut-être ce que vous évoque la ville reine au premier abord. Et si l’on vous parlait de ses auberges de jeunesse?
Chaque année, de plus en plus de touristes, voyageurs ou nouveaux arrivants, découvrent le visage de Toronto en poussant la porte de l’une de ses nombreuses auberges, le temps d’un week-end, ou de plusieurs semaines. Et parmi eux, se trouve un nombre important et grandissant de francophones.
«Vivre en communauté», c’est l’atout principal des auberges de jeunesse. À mi-chemin entre l’hôtel et la vie chez l’habitant, c’est un peu comme une colocation à l’international grandeur nature. Mais, pas de panique, ça n’est pas si effrayant que ça en à l’air, bien au contraire.
Une quinzaine d’auberges
Avec plus d’une quinzaine d’établissements répartis aux quatre coins de la ville, l’offre ne manque pas à Toronto, et les visiteurs sont au rendez-vous.
«Le marché à Toronto est extrêmement dynamique», explique Benoit Legault, chroniqueur à L’Express et vice-président de HI-Québec/Ontario, l’association des auberges de jeunesse membres du réseau Hostelling International.