![De gauche à droite, en haut: Maître Mark Power, le professeur et vice-doyen aux programmes académiques de l’Institut d’études pédagogiques de l’Ontario à l’Université de Toronto Normand Labrie, et l’honorable John Godfrey. En bas, Christophe Plantiveau, principal du Campus Spadina et directeur des Communications et du Marketing de l'Alliance Française de Toronto, et la professeure et titulaire de la Chaire de recherche en éducation et francophonie de la Faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa Nathalie Bélanger.](https://l-express.ca/wp-content/uploads/2020/09/Symposium-Droit-et-langue-franaise_seance-1-25-sept.-2020-800x749.jpg)
L’accès équitable à l’éducation en français varie beaucoup selon les provinces
«La question de l’accès à l’éducation pour les francophones en situation minoritaire peut sembler simple: c’est un droit constitutionnel assuré depuis 1982 par l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés. Pourtant, chaque communauté francophone en situation minoritaire vit la réalité de ce droit différemment selon sa province, son histoire, sa démographie, son momentum politique.» C’est ainsi que Christophe Plantiveau, principal du campus de l’Alliance Française de Toronto, a présenté le 25 septembre dernier le sujet de l’atelier qu’il modérait dans le cadre du Symposium 2020 Droit et langue française, une initiative étudiante du Collège Massey et de la […]