Humoriste qui a plus de 1500 spectacles dans les bars et 15 galas télévisés à son actif au Québec, Sébastien Bourgault a décidé il y a 4 ans d’apprendre l’anglais pour accéder à la plus grande scène entre toutes dans ce domaine, celle de Los Angeles.
Auparavant, il se sera tout de même déjà produit en anglais – faisant souvent des blagues sur son accent atroce – à Montréal, Ottawa, New York et Toronto, où il vient de déménager avec sa blonde.
«Oui, je serais le Céline Dion de l’humour», répond-il à une suggestion de L’Express… «mais sans René Angélil, car je suis mon propre producteur.»
Nous l’avons rencontré la semaine dernière en vue de la série de soirées qu’il offrira sur la scène du Yuk Yuk’s au 224 rue Richmond, du 16 au 20 mars.
«Toronto est la mecque de l’humour au Canada anglais», confirme-t-il. Et pour cet artiste ambitieux, qui carbure à la pensée positive, c’est le tremplin vers une carrière américaine/internationale.