Je viens d’une petite ville située à environ deux heures de Toronto. À cause de la pandémie, cette année, je suis restée à la maison.
Certainement, comme plusieurs d’entre vous, retourner vivre chez nous, avec les parents, les frères et les sœurs, tout en suivant les cours à l’université à temps plein, est un défi. Mais je me suis trouvée très chanceuse cette année de pouvoir développer mon amour pour le plein air.
Bien-être
Mon enfance fut remplie de voyages, de campings, de randonnées et de journées passées à faire du vélo. J’ai toujours aimé le sport et les activités en plein air.
Mais je n’étais pas réellement consciente du confort que cela apportait à mon bien-être jusqu’au moment où j’ai été forcée de rester chez moi, seule sans interactions sociales, sans voyages en métro, sans allers-retours ici et là dans la grande ville.
Au bord de la baie Georgienne
Pour ceux d’entre vous qui viennent aussi d’une petite ville, vous comprenez peut-être le sentiment de claustrophobie que l’on peut ressentir quand il y a un seul restaurant où manger, quelques grands magasins, et le fait de pouvoir se rendre d’un côté à un autre en moins de dix minutes. En réalité, il n’y a pas grand-chose à faire.
Mais, j’adore ma petite ville. Depuis ma jeunesse, j’ai eu la chance d’avoir des expériences incroyables grâce à la région où j’habite.