Le Congrès mondial acadien (CMA), qui a débuté samedi à l’Île-du-Prince-Édouard et au Nouveau-Brunswick, est un événement haut en couleur, avec des activités d’envergure qui vont laisser des traces longtemps après que la poussière sera retombée.
Tout le monde veut assister aux grands concerts et aux événements spéciaux comme la course de nuit sur le Pont de la Confédération, mais on ne peut pas imaginer non plus un CMA sans réunions de familles.
Cousins proches et éloignés
C’est dans ces rencontres plus intimes que les liens entre cousins de par le monde se tissent et se tricotent, d’un CMA à l’autre (tous les 5 ans depuis 1994). Ces rencontres sont véritablement l’âme qui insuffle sa raison d’être au CMA 2019 et à tous ceux qui suivront, certainement.
En 2019, 36 familles ont inscrit un événement, des Arsenault aux Thibodeau, en passant par les Gallant, les Richard et les Barriault, pour en nommer quelques-unes.