La Franco-Fête 2012 a été une réussite, notamment grâce à la clémence de la météo, qui a offert trois jours de soleil aux festivaliers, mais la direction générale aimerait bénéficier de plus de marge de manœuvre au niveau de l’organisation et de la recherche de commanditaires.
Avec Ariane Moffatt, Samian, Mohombi, Alexis HK et bien d’autres encore, l’édition 2012 de la Franco-Fête, qui célébrait ses 30 ans, a été un franc succès. De nombreux francophones, mais également de nombreux anglophones qui passaient par là, sont venus assister aux concerts, ce qui prouve que la programmation était alléchante.
Avec une communication réduite financièrement, et une enveloppe globale moindre que les années précédentes, la direction de la Franco-Fête a tout de même fait de ce rendez-vous incontournable pour les francophones de Toronto, un événement d’une grande ampleur.
Il faut garder en tête que l’équipe de direction et le CA de la Franco-Fête ont dû faire avec un budget 2012 amputé de 148 850 $ par rapport à 2011, en raison de la difficulté à attirer les partenaires et de la suppression d’une subvention.
Des défis
Pourtant, le rapport de la direction générale, présenté par Daniel Simoncic mercredi dernier au Collège français de Toronto, à l’occasion de l’Assemblée générale annuelle de la Franco-Fête, présente plusieurs des aspects négatifs liés à l’organisation.