J’ai «flyé» un taxi récemment. Le chauffeur m’a demandé si c’est parce que celui que j’avais appelé tardait à venir. Il s’est montré très étonné quand je lui ai dit que je n’avais pas téléphoné. Apparemment, c’est de plus en plus rare.
Pourtant, au centre-ville, même aux alentours comme dans l’Est où sont les bureaux de L’Express, on ne reste pas trois minutes dehors sans voir passer un taxi libre.
J’en attendais un, une autre fois, quand un véhicule a fait un «u-turn» pour s’immobiliser à côté de moi: un Uber croyant que j’étais son client. Ce dernier était juste un peu plus loin, courant vers l’intersection qui était leur lieu de rendez-vous.
Je n’ai jamais utilisé Uber, dont je n’ai pas encore téléchargé l’application. Mais je n’ai rien contre.
Malheureusement pour les propriétaires de taxis, dont les permis perdent de la valeur, je ne pense pas qu’on pourra interdire ce service. Comme on dit en anglais: on veut fermer les portes de la grange après que les chevaux se soient échappés.