Les administrateurs d’Action positive ont désormais un an pour présenter un plan d’action stratégique qui devra servir à aller chercher du financement pour la mise en place de services à la personne pour ceux qui vivent avec le VIH-SIDA. Un comité ad hoc a été mis en place pour développer une stratégie de démarchage politique pour obtenir ce financement. La question de l’autonomie financière a également été soulevée pour sortir de la tutelle de l’organisme ACT.
Des programmes qui attirent
Près de 75 personnes ont participé aux différents programmes d’Action positive durant la dernière année. Parmi les programmes offerts par l’organisme, on retrouve le groupe FrancParler.
Le groupe de discussion animé par Gabrielle Loesh a rassemblé plus de 90 personnes entre septembre 2011 et mars 2012 grâce notamment à une meilleure utilisation des réseaux sociaux. Les rencontres de l’âge du bien-être, qui sont destinées aux personnes de 50 ans et plus et les apéros de FrancoQueer, dont le fameux Bal des neiges, ont aussi réussi à toucher un bon nombre de francophones et de francophiles.
Les femmes ont aussi leur place à Action positive, notamment à travers les rencontres du groupe des femmes. Jusqu’à 11 personnes se sont retrouvées mensuellement au cours de l’année passée pour discuter de sujets tels que la violence, l’adaptation culturelle ou encore comment parler de sexualité avec les enfants.
Entre les petits-déjeuners Jeudi ça presse, la clinique d’impôts, les randonnées avec la Société d’histoire de Toronto, l’activité qui a eu le plus de succès aura été la retraite artistique qui a été organisée en mai 2011 sur les îles de Toronto.