Il y aura toujours ceux qui la connaissent comme celle qui donna naguère la réplique à Charlebois dans Lindberg, d’autres qui pensent à ses fougueuses incursions dans le folklore (Dans la prison de Londres), ou encore ceux qui saluent la remarquable interprète de personnages féminins, à commencer par la Marie-Jeanne de Starmania.
Mais on aurait tort d’oublier que Louise Forestier a aussi signé certaines des grandes chansons du répertoire québécois. Son dernier album, Éphémère, nous permettait d’ailleurs de renouer avec une auteure encore au faîte de ses pouvoirs.
La gang du cours Parlons chanson avec Dominique Denis a eu l’occasion de se pencher sur la chanson Seul(e) de ta gang, un extrait de ce disque, et de questionner Louise Forestier sur ce texte riche en leçons.
Commençons par le commencement. Comment se manifestait la différence évoquée dans la chanson Seul(e) de ta gang, pour la petite Louise Bellehumeur, à Shawinigan? Comment en aviez-vous conscience?