L’Assemblée générale annuelle du Club canadien de Toronto s’est tenue mercredi 19 novembre. L’organisme a mis l’accent sur de nouvelles stratégies pour rehausser sa tribune et son réseautage au sein de la communauté francophone. Voici les points saillants du rapport de la présidente.
«C’est avec enthousiasme que je veux continuer d’aider notre nouvelle présidente, Jocelyne Y. Chaput, à relever les défis qui se présentent au Club canadien – trouver des conférenciers intéressants, revaloriser le membership du Club, diversifier nos efforts de communication, démarcher de nouveaux commanditaires – pour renforcer notre implication dans la communauté francophone de Toronto», dit François Bergeron, éditeur associé du journal L’Express de Toronto et président sortant du Club canadien
Ces propos résument bien les priorités de l’organisme pour l’année en cours. «Notre marque de commerce s’est construite à travers la notoriété dans le grand public des conférenciers de marque que nous invitons lors de nos déjeuners causeries», mentionne-t-il.
Présentement, 100 personnes en moyenne assistent aux conférences mensuelles du Club canadien de Toronto. Les objectifs de l’organisme l’incitent à vouloir élargir l’assistance à 150 convives par conférence. Le Club doit redoubler ses efforts stratégiques de recrutement de nouveaux membres.
La mise en œuvre d’une programmation annuelle à la fine pointe de l’actualité torontoise, dans laquelle la communauté francophone y joue un rôle important, est essentielle au succès du mandat du Club canadien. Que ce soit dans les domaines des affaires, de la finance, de la santé, de l’éducation, la culture ou autre, les conférenciers invités doivent être des professionnels crédibles, détenteurs d’une expérience et d’une connaissance approfondies des sujets discutés. Ils doivent être en mesure de suggérer des pistes de solutions viables et d’offrir de nouveaux outils d’exploration pour le rayonnement et l’enrichissement de la communauté francophone.