Le 26 juin marquait la date d’entrée en vigueur, en 1987, de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Celle-ci a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies (résolution 39/46 du 10 décembre 1984) et définit la torture comme «tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne (…) par un agent de la fonction publique ou toute autre personne agissant à titre officiel…».
C’était aussi la Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture.
Cette Convention demeure l’une des plus impopulaires, car 146 États seulement sur les 192 membres des Nations Unies l’ont signée ou ratifiée.
Selon le président du Comité des Nations Unies contre la torture, M. Claudio Grossman lors du 25e anniversaire de la Convention, le 13 décembre dernier, l’«on ne peut dire que la torture ait diminué».