Avoir un chalet sans les inconvénients

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Publié 15/07/2014 par Monique Telmosse

Nous rêvons tous d’avoir un chalet sur le bord d’un lac et de relaxer. Mais le travail relié à l’entretien et les coûts d’opérations peuvent nous empêcher d’en faire une réalité. Et aussi, pouvez-vous y passer assez de temps pour justifier une telle dépense?

J’ai une solution pour vous! Devenir copropriétaire («fractional ownership») d’un chalet! Ne pas confondre avec le temps partagé («timeshare»).

La propriété partagée est différente car vous devenez copropriétaire et votre nom figure sur les titres du chalet. En général, il y a 10 propriétaires avec 5 semaines d’occupation chacun et 2 semaines pour l’entretien. Une semaine fixe durant la saison estivale et les autres sont déterminées selon un système de rotation déjà expliqué dans les règlements de l’association des propriétaires.

Le coût d’achat peut varier entre 50,000$ et 100,000$ tout dépendant du site et des services offerts. Les frais de maintenance sont payés une fois par année.

Tout est inclus: literie, serviettes, service de ménage, vaisselle ainsi que des bateaux et autres tout dépendant du site. Vous n’avez qu’à venir avec votre sourire et vos victuailles.

Quoi prendre en considération avant de choisir un site? Il faut considérer la distance de la maison, les frais annuels d’entretien, la réserve de l’association des propriétaires, l’âge des chalets, les règlements, les possibilités de louer vos semaines. N’oubliez pas que vous êtes propriétaires et que s’il manque des fonds pour certaines réparations, vous devez partager la facture.

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C’est un merveilleux concept et peut vous donner accès aux plaisirs de la nature à un coût raisonnable et sans souci!

Renseignements

Monique Telmosse, Levesque & Telmosse Wealth Planning. Téléphone: 416-412-8018
Courriel: [email protected]

Cet article a été préparé par Monique Telmosse CFP, représentante inscrite auprès de Patrimoine Hollis, division de Scotia Capitaux Inc., membre du Fonds canadien de protection des épargnants et de l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières.

Les points de vue ou recommandations formulés dans cette présentation sont strictement ceux de Monique Telmosse; ils ne sont pas ceux de Patrimoine Hollis.

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